ZWEIG ET BAZALGETTE :
LE PRINCE ET LE PAYSAN

« Nous nous liâmes bientôt d’une amitié intime et fraternelle parce que nous ne pensions ni l’un ni l’autre en termes de patries, parce que nous aimions tous les deux servir des œuvres étrangères avec dévouement et sans aucun profit matériel, parce que nous estimions l’indépendance de la pensée comme le bien suprême dans la vie. » Le Monde d’hier, Stefan ZWEIG.